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Culture,
Culture scientifique et humanités
Publié le 6 juin 2019 | Mis à jour le 6 juin 2019
La nécessité de nommer les choses...
Illustration : Maïda Chavak - Crédit : CMTRA
A la fin du mois de mars un besoin de formalisation du projet s’est fait ressentir. Nous avions besoin d’un support de communication pour expliciter le principe et les enjeux du projet Instrumentarium. Un “fly”, une petite affiche a donc été réalisée. Elle nous a permis de nous présenter de façon plus institutionnelle auprès des personnes rencontrées lors des collectes et sur le terrain.
La réalisation de cette affiche s’est accompagnée d’un lot de réflexion qui a quelque peu précipité notre planning prévisionnel. Tout support amené à être diffusé en vue d’un événement futur se doit d’être clair, lisible et fidèle au contenu de l’exposition en préparation. Or le contenu et les enjeux de cette exposition sont actuellement au cœur des discussions entre le CMTRA, le RIZE et l’ENM. Sans mettre “la charrue avant les bœufs” il faut pourtant trouver rapidement un titre qui représentera fidèlement le contenu du projet et son aboutissement. Il faut ainsi mener un important travail de projection et saisir en quelques mots la substantifique moelle d’une idée, la rendre explicite et attractive.
Plusieurs réunions de brainstorming ont actuellement lieu entre les trois structures pour mettre en commun lexique, vocabulaire et faire émerger un objet qui nous permettra enfin de nommer définitivement le projet. Plusieurs méthodes peuvent être employées : réunir un champ sémantique autours des grands principes et valeurs associés au projet, choisir des noms signifiés (qui font appel à un imaginaire proche), des noms signifiants (qui font appel au sens), des noms abstraits (mais reliés par la sémantique ou la phonétique). Il s’agira ensuite de se mettre d’accord sur une charte graphique commune. Là encore le choix n’est pas simple chaque structure ayant déjà sa propre identité visuelle.
La situation est atypique : le projet nécessite de penser une communication alors même qu’il n’est pas formalisé. Il y a deux enjeux distincts dans l’élaboration de ces supports de communication : entrer en communication avec les habitants et susciter leur participation au projet, et dans un second temps, communiquer plus globalement sur l’exposition.
Maëllis Daubercies et Siloë Douillard
Plusieurs réunions de brainstorming ont actuellement lieu entre les trois structures pour mettre en commun lexique, vocabulaire et faire émerger un objet qui nous permettra enfin de nommer définitivement le projet. Plusieurs méthodes peuvent être employées : réunir un champ sémantique autours des grands principes et valeurs associés au projet, choisir des noms signifiés (qui font appel à un imaginaire proche), des noms signifiants (qui font appel au sens), des noms abstraits (mais reliés par la sémantique ou la phonétique). Il s’agira ensuite de se mettre d’accord sur une charte graphique commune. Là encore le choix n’est pas simple chaque structure ayant déjà sa propre identité visuelle.
La situation est atypique : le projet nécessite de penser une communication alors même qu’il n’est pas formalisé. Il y a deux enjeux distincts dans l’élaboration de ces supports de communication : entrer en communication avec les habitants et susciter leur participation au projet, et dans un second temps, communiquer plus globalement sur l’exposition.
Maëllis Daubercies et Siloë Douillard